Par automatisme, j'évite le Rap Français comme la peste (pas Disiz quoique). Resucée sans âme et infâme du Rap américain authentique et crédible par sa capacité à se réinventer tout les 6 mois. J'estime à titre personnel qu'écrire à la gloire de nos plagieurs hexagonaux est une perte de temps. Surveillant le tout d'un œil toujours à l’affût d'une surprise, nous assistons depuis plus d'une décennie à une uniformisation du Rap dans ce qu'il a de plus mauvais sur le plan "mélodique" et "rythmique". L'avalanche de rimes pauvres, de punchlines finissant par "er" et les cris adlib gimmick chourave aux Wayne, Ross ou Migos ont fini de m'achever.
